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Boîtier fibre Free : installation, branchements et configuration complète

11 min
Logistique
28 May 2025 à 12h56

Guide express : raccorder votre boîtier fibre Free en 5 minutes

Vérifier le matériel (FreePlug, câble optique, convertisseur optique)

Vous pensiez que la fibre, c’était plug-and-play ? Raté. Voici le matériel à aligner comme des dominos sur la table basse — et on ne parle pas de dominos pizza, dommage pour vous.

  • FreePlug : Ce bloc d’alimentation est censé faire passer du courant là où votre motivation s’arrête. Repérez l’inscription "POWER IN" en toutes lettres majuscules. Si c’est écrit en hiéroglyphes, c’est probablement le mauvais boîtier.

  • Câble optique : L’aiguille dans la botte de foin numérique. Transparent ou blanc (parfois vert fluo chez les rebelles), il se termine par un minuscule embout qui refuse obstinément d’entrer dans tous les ports sauf UN.

  • Convertisseur optique : La star du jour. Il transforme la lumière en bits — enfin, quand il veut bien. Sa façade arbore fièrement les ports POWER IN et POWER OUT, sans aucune compassion pour vos doigts maladroits.

Convertisseur optique Free posé sur un bureau montrant les ports

Astuce de Jedi : Si vous cherchez encore le mode d’emploi dans la boîte… arrêtez. Il n’existe pas.

Localiser la prise optique murale (PTO)

Ah, la PTO ! Ou comment transformer une chasse au trésor domestique en crise existentielle. Elle se planque souvent près de votre box d’origine, ou alors derrière un meuble trop lourd pour être déplacé seul — mauvaise pioche.

  • Le cache mural: D’aspect plastique cheap mais fourbe, il se décline avec ou sans logo operateur. Si c’est orange fluo, ce n’est pas une œuvre d’art contemporaine : c’est probablement ça.
  • Marque du connecteur: Amusez-vous à lire le micro-gravé "SC/APC" ou "SC/UPC" sur l’embout (prévoyez une loupe et un café).
  • Le câble coincé dans la cloison: Anecdote maison — il y a statistiquement plus de chances qu’un technicien Free retrouve la paix intérieure qu’un client retire ce fichu câble sans arracher le plâtre.

Bref : La PTO se trouve généralement à moins de deux mètres d’une prise électrique. Mais attention ! Elle adore jouer à cache-cache derrière les rideaux façon ninja urbain… On n’est pas chez Disney.

Branchement électrique et conversion du signal

Connecter le FreePlug au port POWER IN du convertisseur optique

La beauté du FreePlug ? Mythique ! Un look aussi ergonomique qu’une calculatrice solaire en cave sombre. On s’attendait à un bijou d’innovation : on a une brique noire avec une LED timide qui hésite entre vert fluo et rien du tout.

Étapes express (pas de chocolat, désolé) :

  • Débrancher tout ce qui traîne sur la multiprise (sinon, c’est la roulette russe version domotique).
  • Aligner le FreePlug : fiche vers la prise secteur, câble vers le port "POWER IN" du convertisseur optique (ce n’est pas pour recharger votre téléphone, hein).
  • Enclencher franchement – il faut un déclic sec, pas un câlin.
  • Vérifier la LED verte sur le FreePlug. Si elle clignote façon sapin de Noël ou reste rouge, vous avez perdu à la loterie du câblage.

Branchement du FreePlug sur le port POWER IN du convertisseur optique Free

Astuce venimeuse : Si vous ratez l’alignement, félicitations ! Vous venez d’inventer le jeu préféré des techniciens Free : "Trouve l’erreur invisible". Bref, on n’est pas chez Disney — ici, la magie c’est surtout un faux-contact.

Raccorder le port POWER OUT au Server Internet

Le câble fourni ? Pas plus sexy qu’un tuyau d’arrosage miniature. Mais vital : il relie le port "POWER OUT" du convertisseur à l’entrée 12V de votre Server Freebox. Sa seule vocation dans la vie ? Faire circuler l’énergie pure, sans demander son avis à personne.

C’est comme brancher une brosse à dents électrique sur son chargeur (à ceci près que si vous inversez les embouts ici… ça explose rien mais ça ne marche pas — nuance technique).

  • Branchez fermement l’embout rond dans la sortie "POWER OUT" du convertisseur.
  • L’autre bout dans le port 12V du Server Internet (aucun autre port ne lui conviendra – même si certains insistent chaque année…).
  • Ignorez les grésillements ou micro-étincelles. Si la LED côté Server s’allume en vert pâle : jackpot !

Câble reliant le port POWER OUT du convertisseur optique Free au port 12V du Freebox Server

Anecdote véridique : Le nombre de PME qui tentent encore de brancher ce câble dans une prise USB dépasse largement celui des gens qui lisent vraiment les notices d'installation. On parie combien ?

Raccordement réseau : du convertisseur à la Freebox

Brancher le câble DAC ou Ethernet entre ONU et Server

Vous pensiez qu’un câble, c’était juste un câble ? Non. Dans l’univers Freebox, c’est presque une question de philosophie. Le câble DAC (Direct Attach Copper), c’est l’élite du court-circuit : destiné aux connexions ultra-courtes (moins de 5 mètres), il chuchote à 10 Gb/s là où l’Ethernet classique toussote péniblement. Le câble Ethernet CAT6A, lui, joue la carte marathon : il s’étire jusqu’à 100 mètres, mais plafonne à 1 Gb/s. Bref, si votre Server est exilé dans le salon voisin… oubliez le DAC, sortez l’Ethernet — sinon, bonjour la latence et au revoir le débit.

Type de câble Usage Vitesse max
DAC passif Très court (<5m) 10 Gb/s
Ethernet CAT6A Jusqu’à 100m 1 Gb/s
  • Quand utiliser quoi ?
    • Si votre ONU (le nom stylé du convertisseur optique) et le Server se font des câlins sur la même étagère : optez pour le DAC (port bleu FIBRE). Sinon, on repasse au bon vieux Ethernet CAT6A (port gris BOX).
  • Attention ! La tentation d’enfiler un DAC dans n’importe quel port se paie cash : message d’erreur, perte de connexion… et appel au support technique qui facturera en sarcasmes.

Pour les amateurs de défis inutiles : tenter d’adapter un câble RJ45 sur un port bleu FIBRE, c’est comme vouloir brancher une prise UK dans une multiprise française. Spoiler : ça ne marche pas !

Identifier les ports FIBRE vs BOX (couleurs et codes)

Parlons design industriel – ou comment Free pense aux daltoniens pressés.
- Port FIBRE (bleu) : L’entrée VIP pour la fibre venue du convertisseur optique. C’est là que le câble DAC s’invite à la fête.
- Port BOX (gris) : Le port classique pour l’Ethernet. La valeur refuge des allergiques à la nouveauté.

Pourquoi ces couleurs criardes ? Pour éviter que le technicien Jedi ne bascule du côté obscur devant votre installation psychédélique. Un port mal branché = une demi-journée de troubleshooting en klingon … et deux cafés pour chaque « synergie » prononcée pendant l’appel hotline.

Anecdote piquante : Certains installateurs confondent encore « port BLEU » et « port avec autocollant bleu » – cherchez l’erreur sur votre matos, vous rigolerez moins quand ça fera bip-bip rouge toute la nuit.

Configuration finale et tests de connexion

Allumer la Freebox et attendre les voyants verts

Vous avez tout branché ? Il est temps de confronter votre destin au bouton "Power" du Server Freebox. Posez vos deux mains sur le boîtier (non, il ne va pas s’envoler) et pressez le bouton magique. Là commence la vraie épreuve — celle du sabre laser… euh, des LED.

  • Ordre d’allumage : La LED en façade clignote mollement blanc/rouge, puis jaune, puis vert (si elle reste bloquée sur une couleur flippante, relisez tout depuis le début — sans tricher !).
  • Séquence Jedi : D’abord, LED centrale (statut), ensuite LED « réseau ». Les deux en vert ? C’est la signature cosmique que votre fibre a pigé le coup. Si ça clignote dans tous les sens ou reste orange… direction hotline (bon courage, c’est sport).

Patience, jeune padawan, les leds passent au vert quand tout roule.

Vérifier le débit et la stabilité (outil intégré)

Faut-il croire l’opérateur sur parole ? Jamais ! Direction interface Freebox OS sur http://mafreebox.freebox.fr (ou via l’appli maison si vous êtes allergique à la souris). Entrez vos identifiants… sans faute de frappe cette fois.

  • Naviguer dans Freebox OS : Cliquez sur “État de la Freebox”, puis laissez-vous aspirer vers “Détails de la connexion”.
  • Tester comme un boss : Cliquez sur “Débit” > “Lancer un test”. Le résultat s’affiche : graphique minimaliste façon ECG numérique. Si ça dépasse 800 Mb/s descendant – vous êtes dans le club très fermé des vrais geeks fibrés. Moins de 100 ? Votre câble optique doit avoir digéré trop de poussière.
  • Stabilité ? Surveillez l’onglet « Historique » pour voir si le débit fait le yo-yo. Un graphique plat = soirée Netflix tranquille ; montagnes russes ? Changement de câble ou pétition à lancer.

Capture d'écran de l'outil de test de débit dans Freebox OS

Dépannage rapide : les erreurs les plus courantes

Pas de voyant ? Vérifier l’alimentation (port 12V mal branché)

Assurez-vous que le FreePlug est bien enclenché, sinon c’est un blackout total.

Vous aimez vivre dangereusement ? Rien de tel que d’oublier de clipser correctement le port 12V sur votre Server Freebox. Résultat : aucune lumière, ni lueur d’espoir. Alors on fait quoi ? On vérifie à la main, sans trembler : le connecteur doit rentrer « franchement », pas juste flirter avec la prise comme un mauvais rencard LinkedIn. Si l’embout bouge d’un demi-millimètre, c’est NON — rebranchez. Même punition côté FreePlug : une LED éteinte ou rouge = tout recommencer. Les miracles arrivent, mais pas quand vous bâclez l’alimentation.

Anecdote pour briller à la machine à café : 42% des interventions "panne fibre" se résolvent par… un rebranchement viril du port 12V. Oui, les techniciens collectionnent ces victoires.

Débit ultra-faible ? Contrôler l’état du câble optique

Si votre fibre Free rame comme un canoë troué, arrêtez de maudire le voisin et scrutez ce fichu câble optique. Oui, lui. Oubliez la science-fiction : on cherche des micro-pliures ou des saletés dignes d'une loupe Sherlock.
- Examen visuel : Déroulez doucement le câble entre deux doigts – chaque boucle suspecte ou angle aigu = potentiel saboteur du débit.
- Connecteur : Regardez l’extrémité – si ça brille moins qu’une veilleuse pour hamster, c’est sale. Soufflez doucement (pas comme un bœuf), voire nettoyez avec un chiffon sec antistatique : un coton-tige humide, c’est INTERDIT.
- Remettez en place sans forcer le connecteur dans la PTO – tout doit rentrer droit, sinon adieu streaming HD.

Conseil assassin : Un câble optique maltraité, c’est aussi efficace qu’un flyer dans une boîte aux lettres "STOP PUB".

FAQ technique – réponses ultra-concentrées

Où placer le boîtier fibre dans la maison ?

Placez-le comme un chef : près de la PTO (prise optique murale), loin des radiateurs, fours et autres sources d’humidité. Il aime l’ombre, la fraîcheur et l’accès facile — pas planqué derrière le micro-ondes ou dans la salle de bains !

Que fait exactement le convertisseur optique ?

Ce n’est pas juste une boîte : c’est l’usine de lumière de votre installation ! Il transforme les signaux lumineux qui courent dans la fibre en courant électrique compréhensible pour la Freebox. Bref, il fait passer internet de photon à électron, aussi indispensable qu’un traducteur simultané lors d’un sommet Klingon/PME.

Différence entre FreePlug et câble DAC

Le FreePlug, c’est le fournisseur officiel de jus (12 V) : il alimente vos appareils comme une fontaine à énergie. Le câble DAC, lui, se prend pour le roi du bavardage numérique — il transporte les données entre convertisseur et Server à toute berzingue. Bref : sans FreePlug, rien ne s’allume ; sans DAC, rien ne cause. À chacun son rôle… et pas question d’inverser !

Conclusion : votre fibre Free décryptée (et maîtrisée)

On y est. Vous avez survécu à l’expérience Freebox, et aucun Jedi n’a été blessé pendant l’opération. Vous méritez mieux qu’une médaille : un café bien tassé.

Résumé express (en 3 bullets, pas plus, sinon c’est déjà trop) :

  • Matos vérifié ✔️
  • Branchement OK ✔️
  • Voyants verts ✔️

Vous n’êtes pas devenu ingénieur optique, mais votre PTO ne clignote plus pour rien. La fibre Free ? Décryptée, domptée et rangée à sa place — près de la prise électrique… et loin des ambitions de science-fiction.

Évidemment, chaque étape a été une épreuve : aligner des câbles aussi rigides qu’un chef de service en réunion, jongler avec des voyants lunatiques — tout ça pour finir devant un débit qui ferait pâlir d’envie la moitié du quartier. Qui l’eût cru ?!

Bref : maintenant que tout roule, asseyez-vous, admirez les Mbps s’afficher… et savourez ce mug de café mérité. Si quelqu’un prononce encore « synergie » devant vous… envoyez-lui consulter ce guide.

Mug de café posé à côté d'un convertisseur optique Free allumé, symbolisant une victoire
Boîtier fibre Free : installation, branchements et configuration complète

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