
Formation auto-entrepreneurs : ce que vous devez savoir pour financer et choisir la bonne formation
On vous explique en détail comment obtenir votre formation d'auto-entrepreneur grâce à vos droits, les financements possibles, les organismes à contacter et comment choisir la bonne. Avec une surprise qui vous attend en fin d'article.
Saviez-vous qu’en tant qu’auto-entrepreneur, vous cotisez pour avoir droit à des financements de formation ? Que vous pouvez y prétendre dès la 1ère année ? Et qu’il s’agit du meilleur investissement possible pour votre activité ?
Pourtant, entre la peur d’un parcours du combattant kafkaïen et celle de payer trop cher, 67% des auto-entrepreneurs renoncent à se former.
Alors que non seulement ils le peuvent, mais qu’ils en ont désespérément besoin.
Bref : on s’est donné pour mission de vous aider à obtenir vos droits à la formation.
Comment ? En publiant l’article le plus complet sur le sujet.
Ce dernier vous explique :
- Ce que vous devez savoir sur vos droits à la formation (et les mythes qui vous en privent)
- Les 4 financements possibles et comment y prétendre (pour payer le moins possible)
- Les organismes à contacter pour faire valoir vos droits (avec modèles de mails)
- Comment choisir votre formation (pour un investissement qui vous rapporte VRAIMENT)
- Un récap’ des points clés pour passer à l’action dès aujourd’hui.
Avec un cadeau qui vous attend en fin d'article.
On n’a pas trouvé plus complet.
Préparez-vous à obtenir votre formation grâce à vos droits.
Formation auto-entrepreneur : ce qu’il faut savoir pour bien utiliser vos droits 💥
Imaginez : vous pilotez votre micro-entreprise, persuadé d’être coincé niveau formation comme un grille-pain sans prise. Mauvaise pioche ! Oui, vous avez des droits à la formation. Pas de baguette magique, mais une mécanique bien huilée (en théorie) : la Contribution à la Formation Professionnelle alias CFP. À chaque euro de chiffre d’affaires, une petite part file sagement sur votre CFP — même si vous n’avez ni patron ni salariés. Bref, l’État ne fait pas dans le bénévolat.
Même sans salarié, votre chiffre d'affaires finance votre montée en compétence.
Bon, soyons francs : le système ressemble parfois plus à un Rubik’s Cube défectueux qu’à une autoroute toute droite. On peut remercier la paperasse administrative (qui a dit labyrinthe kafkaïen ?). Mais c’est là, et ça existe pour vous.
Pourquoi se former quand on est auto-entrepreneur ? (Et non, ce n'est pas juste pour le plaisir)
Oubliez l’idée du vieux cours du soir poussiéreux où on révise la règle de trois… Se former, ce n’est PAS une option gadget « pour passer le temps ». C’est littéralement du carburant pour booster votre activité.
Voici ce que la formation professionnelle peut vraiment faire pour VOUS:
- Raffiner vos compétences comme un chef étoilé affine son menu
- Réagir au marché plus vite que votre banquier ne peut refuser un prêt (croyez-en mon expérience…)
- Muscler votre CA grâce à de nouveaux services ou produits (je connais un graphiste qui a doublé sa facturation après une formation marketing – véridique)
- Diversifier et anticiper les tempêtes (même celles avec des requins)
- Garder la niaque quand tout le monde abandonne – surtout les dimanches soirs !
Bref : c’est un upgrade massif de votre boîte à outils personnelle ; pas juste une case à cocher en mode « j’ai bon sur LinkedIn ».

Les mythes sur la formation auto-entrepreneur : démêlons le vrai du faux
On n’est pas chez Disney et il faut arrêter avec les contes urbains. Le top 3 des bêtises entendues autour de la machine à café :
Les grands mythes à démolir
- « La formation, c'est pour les salariés, pas pour moi. »
- « Je n'ai pas le budget pour une formation. »
- « C'est tellement compliqué de demander un financement que je n'essaye même pas. »
Sérieusement ? Non seulement vous y avez droit (sinon à quoi serviraient vos cotisations), mais il existe des dispositifs ciblés FAIT POUR VOUS. Oui, il y a de l’administratif mais on parle plutôt casse-tête Chinoix que torture médiévale.
Un client m’a sorti un jour "c’est trop cher !"... avant d’acheter son deuxième smartphone dernier cri dans l’année. Bref – investir dans ses compétences rapporte souvent bien plus qu’un gadget éphémère.
Comment financer votre formation d'auto-entrepreneur : le nerf de la guerre 💰
Imaginez un instant votre banquier qui vous explique sérieusement que la CFP, c’est comme une carte VIP pour les formations (sauf que c’est obligatoire et que ça ne donne pas droit au champagne). Bref. Parlons flouze, mécanismes obscurs et vrais leviers pour FORMER votre cerveau sans vendre un rein.

La Contribution à la Formation Professionnelle (CFP) : votre droit de naissance (ou presque)
Vous pensiez que vos cotisations sociales allaient direct dans le vide intersidéral ? Raté. La Contribution à la Formation Professionnelle (CFP), incluse dans chaque déclaration de chiffre d’affaires, sert à alimenter un pot commun… dont vous êtes officiellement bénéficiaire. Oui, même si l’administration fait tout pour vous en dissuader avec ses intitulés dignes d’une réunion PowerPoint sous Tranxène.
Origine de la CFP : Dès que vous encaissez un euro, une fraction part automatiquement sur votre CFP. Les taux diffèrent selon ce que vous faites dans la vie (artisan = 0,3% du CA ; commerçant = 0,1% ; profession libérale réglementée = 0,2%). C’est calé directement sur les codes NAF/APE – donc pas question de gruger !
Où file votre argent ? Vers un organisme collecteur sectoriel (le fameux FAF), qui gère le magot selon VOTRE métier. Ce n’est pas un cadeau ni une faveur ministérielle : c’est strictement votre dû.
Votre cotisation CFP ouvre droit à des budgets formation chaque année – mais réclamez-les sinon ils s’évaporent comme l’eau à Marseille en août !
Le Compte Personnel de Formation (CPF) : le grand classique, version indépendant
On n’est pas chez Disney mais voilà enfin une carotte qui a du goût ! Le CPF fonctionne aussi pour les indépendants… mais c’est encore méconnu (merci l’État).
Comment ça marche ? À condition d’avoir payé sa CFP ET déclaré un chiffre d’affaires positif sur l’année écoulée, le compte se crédite annuellement jusqu’à 500 € par an, plafonné à 5 000 €. Pas besoin d’avoir fait Polytechnique pour vérifier son solde sur moncompteformation.gouv.fr. Ces euros sont mobilisables pour des formations certifiantes – numériques, langues étrangères ou gestion, tout y passe.
Anecdote véridique : Un client pensait son CPF vide – il a découvert 2 000 € oubliés après trois ans sans vérif. Il s’est payé deux cycles pro en marketing digital. Moralité : ne laissez pas traîner ce pécule sous le tapis.
Pour approfondir comment externaliser intelligemment sa paperasse ou sa communication, consultez notre article dédié sur l’importance de la sous-traitance pour les auto-entrepreneurs.
Les Fonds d'Assurance Formation (FAF) : le labyrinthe des financements par métier
Vous aimez les casse-têtes administratifs ? On y arrive. Les FAF sont des caisses sectorielles qui gèrent LA trésorerie formation issue de vos cotisations CFP. Chaque FAF correspond à un secteur identifié par votre code NAF/APE — loupez-le et vous voilà égaré dans une administration parallèle.
Voilà les principaux portiers du trésor :
Exemples de FAF et leurs populations cibles :
- FAFCEA : artisans (pour ceux qui fabriquent ou transforment)
- Agefice : commerçants & professions libérales non réglementées (oui il faut lire les astérisques…)
- Intergros (Opco 2i) : métiers liés à l’ingénierie et métallurgie
- Uniformation : santé/social
Bref : trouvez VOTRE code NAF avant toute demande sinon c’est « retour case départ ». Une fois identifié, faites valider vos devis avant toute formation — jamais après (‘expérience vécue à base de refus rageux’).
Autres pistes pour financer votre formation : le petit plus qui fait la différence
Tout miser sur la CFP ou le FAF n’est pas suffisant si vous adorez collectionner les formations comme certains collectionnent les mugs.
Il existe des aides régionales ponctuelles, parfois très généreuses selon où vous vivez (exemple : Île-de-France finance jusqu’à 80 % certains parcours métiers rares). Pôle Emploi peut aussi sortir du chapeau des Aides Individuelles à la Formation si vous êtes en reconversion/statut mixte.
Des réseaux publics type Chambres Consulaires proposent régulièrement des modules gratuits ou subventionnés – renseignez-vous localement.
Enfin si vous sortez du régime micro-fiscal classique (bonjour au réel simplifié…), sachez que certaines dépenses liées à des formations peuvent être déduites du bénéfice imposable. Sauf qu’il vaut mieux avoir l’esprit tordu façon expert-comptable pour s’y retrouver.
Quels organismes pour financer votre formation d'auto-entrepreneur ? Le bottin des bonnes adresses (et des autres) 📞
Le financement de la formation en micro-entreprise, c’est un bestiaire administratif où chaque animal a sa propre cage et sa nourriture préférée. On n’est pas chez Disney : oubliez le gentil guichet unique et ses sourires Colgate. Ici, chaque secteur a SON guichet (et parfois, il est fermé le vendredi après-midi).
Le FAFCEA pour les artisans : la voie royale quand on fabrique des choses
Le FAFCEA, c’est l’organe vital de la formation artisanale. Si vous êtes inscrit au Répertoire des Métiers et que vous avez payé vos cotisations comme un élève modèle, félicitations : cette porte vous est ouverte. Le FAFCEA finance les formations techniques (nouveau procédé de soudure ou recette secrète de la baguette bio), gestion (traduction : arrêter les factures gribouillées sur des serviettes) ou encore commercial (décrocher un client sans l’endormir). L’accompagnement par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat ? Presque obligatoire si vous ne voulez pas finir englouti par le formulaire B12 sous-dossier Z.
Pour qui le FAFCEA ?
- Artisans inscrits au Répertoire des Métiers.
- Auto-entrepreneurs dont le code NAF relève de l'artisanat.
- À jour de leurs cotisations sociales et de formation.
Bref, le FAFCEA : c’est la porte d’entrée pour les bâtisseurs, les réparateurs, bref, ceux qui ont encore du cambouis sous les ongles à 21h.
L'Agefice pour les commerçants et professions libérales : attention aux détails
L’Agefice aussi appelé Fonds d’Assurance Formation du Commerce, Industrie et Services – ce nom fait rêver personne mais il arrose large. Commerçants purs jus ? Professions libérales non réglementées ? C’est votre tiroir-caisse. Encore faut-il avoir coché la bonne case sur son code NAF... Sinon, retour à l’envoyeur. Les conditions changent selon le chiffre d’affaires (spoiler : plus tu déclares, plus tu peux réclamer). Les montants plafonnent souvent autour de 3 000 € à 5 000 € par an pour des formations sérieuses, donc inutile d’espérer faire financer vos stages en « yoga quantique ».
La bureaucratie Agefice ? C’est du cubisme administratif : incompréhensible mais fascinant pour qui aime souffrir sur Excel.
D'autres FAF : parce qu'il n'y a pas que les artisans dans la vie
Le jeu ne s’arrête pas au duo FAFCEA & Agefice. Il existe une galerie complète d’organismes obscurs : AFDAS (culture), OPCO Mobilités (transport), Uniformation (secteur social)… Chaque secteur son propre totem. Et si jamais vous hésitez entre deux cases — félicitations, vous entrez dans la zone crépusculaire du financement croisé !
Votre mission ? Contacter VOTRE organisme de rattachement (Chambre Consulaire ou directement via la liste officielle des Opérateurs de Compétences sur le site du Ministère du Travail). Oui c’est pénible mais moins que pleurer devant une facture explosive.
Pour ceux qui veulent peser le vrai/faux du statut avant de foncer tête baissée : découvrez avantages et inconvénients du statut auto-entrepreneur.
Quand mon FAF dit non : les alternatives et les recours possibles
On n’est pas chez Disney. Un refus n’a rien d’une tragédie grecque – juste un embouteillage sur la route vers vos compétences neuves.
1. Revérifiez l’éligibilité : Votre formation était-elle certifiante/reconnue ? Parfois un détail tue tout le dossier.
2. Remontez votre demande avec un argumentaire béton – certains organismes aiment les explications détaillées (si possible en police Arial taille 10... #humournoir).
3. Activez votre CPF : Ces crédits dorment trop souvent.
4. Explorez aides régionales ou Pôle Emploi, parfois plus futés que prévu.
5. Financement perso ou MOOCs gratuits : Certains parcours en ligne valent mieux qu’une formation bidon hors de prix – sérieusement !
6. Si vraiment tout bloque, tentez le médiateur… ou passez à une autre formation moins capricieuse côté financement !
Un "non" d’un financeur n’a jamais empêché un entrepreneur rusé d’apprendre ce qui compte vraiment !
Choisir la bonne formation pour votre auto-entreprise : objectif visé, pas tir au pigeon 🎯
Vous voulez progresser vite ? Ça commence par l’arrêt du tir au pigeon façon "je prends une formation, on verra bien". Non. On n’est pas chez Disney, la baguette magique n’existe pas.
Définir vos besoins : ce qui vous manque VRAIMENT (et non ce que vend le premier formateur venu)
Avant de cliquer "acheter la formation", posez-vous. Papier, stylo. Pas de pitié pour l’auto-complaisance : il faut disséquer votre business comme un chef étoilé démonte une recette foireuse.
Questions qui fâchent mais font grandir :
- Quel est mon objectif principal à court terme (6 mois) ?
- Quelle compétence me manque pour l’atteindre ?
- Quel est le 'goulet d'étranglement' qui freine tout mon CA ?
- Qu'est-ce que je procrastine juste parce que je n’y comprends rien ?

Ne multipliez pas les formations-pansements : investissez là où ça va booster votre chiffre ou vous libérer du temps. Le reste = distraction coûteuse.
Auto-diagnostic rapide
- Quel est mon objectif principal à court terme (6 mois) ?
- Quelle compétence me manque pour l'atteindre ?
- Quel est le 'goulet d'étranglement' de mon activité actuelle ?
- Qu'est-ce que je procrastine parce que je ne sais pas faire ?
Les types de formations : présentiel, distanciel, hybride… à chacun son poison préféré !
Formations en présentiel ? Ambiance old school et networking garanti… mais c’est chronophage et parfois hors budget pour un solo-preneur en apnée.
Formations en ligne/elearning/MOOC : là c’est flexibilité totale, zéro transport, apprentissage à minuit si ça vous chante. Le revers ? Faut une sacrée autodiscipline sinon vous terminez avec 12 modules commencés… et jamais finis (spoiler : ça arrive même aux meilleurs).
Hybride (blended learning) : le compromis malin. Un peu de visio, quelques sessions live pour les questions qui fâchent et du asynchrone à digérer quand Netflix fait relâche.
Bref – adaptez le format à VOTRE réalité pro et perso. Moins vous faites la navette, plus vos clients sont contents (et votre banquier aussi).
Comment vérifier la qualité d'une formation ? Oubliez les paillettes, checkez le moteur !
L’affiche est belle mais c’est sous le capot qu’on juge un bon moteur :
- Certification officielle (Qualiopi ou rien : sinon adieu financement public)
- Programme détaillé ET adapté à ce dont VOUS avez besoin – pas juste du blabla générique.
- Formateurs qui connaissent le terrain (« expert LinkedIn » ne veut rien dire...)
- Témoignages récents d’anciens stagiaires – si tout date de 2018, fuyez !
- Support post-formation concret : hotline, communauté privée ou suivi personnalisé.
Une anecdote courante : un client avait payé une fortune une formation « miracle »… Zéro support après coup et programme copié-collé Google Docs. Bref – formation chère = arnaque possible ; petit prix = parfois vraie pépite.
Critère | Indicateur Clé | Importance pour l'Auto-entrepreneur |
---|---|---|
Certification | Label Qualiopi | Indispensable pour les financements publics/paritaires |
Programme | Clarté, Pertinence, Adaptabilité | Doit répondre à vos besoins spécifiques |
Formateur | Expérience terrain, Pédagogie | Doit comprendre les réalités de l'indépendant |
Support | Accompagnement post-formation, Communauté | Essentiel pour l'application concrète |
Se faire accompagner : personne n’a jamais gagné seul contre le système administratif !
Arrêtez de croire que Google remplace un vrai mentor ou conseiller en formation. Votre CMA ou CCI propose souvent des entretiens individuels gratuits ou presque (profitez-en avant qu’ils augmentent leurs tarifs). Il existe aussi des accompagnements via réseaux pro spécialisés ou même des pairs plus expérimentés qui ont déjà subi les traverses Kafkaïennes du dossier FAF mal monté.
Bref : demandez conseil AVANT de sortir la CB. Un bon mentor détecte où placer vos billes – alors qu’un mauvais tuto YouTube ne fera que gonfler votre liste "à faire quand j'aurai le temps..."
Ce qu'il faut retenir pour vos droits à la formation d'auto-entrepreneur (et agir vite !) 🚀
On va être cash : les droits à la formation, c’est du concret. Mais ce n’est pas automatique. Aucune fée ne va cliquer pour vous sur le bouton « financer ma formation » – et ça, ce n’est écrit dans aucun manuel.
Vos droits formation en bref
La formation c’est un levier de croissance, pas juste une option gadget pour LinkedIn.
- Votre chiffre d'affaires finance la CFP, qui ouvre des droits.
- Le CPF est une cagnotte individuelle pour des formations certifiantes (utilisable uniquement si vous faites la démarche, sinon il prend la poussière).
- Les FAF couvrent des besoins métiers spécifiques (à condition de les contacter au bon moment et d’avoir le bon code NAF).
- Connaître son code NAF est essentiel pour trouver le bon interlocuteur (personne ne va venir vous tenir la main, désolé).
Bref : qui dort sur ses droits, meurt lentement dans la jungle des indépendants !
Les prochaines étapes à réaliser rapidement
Arrêtez de tergiverser. Agissez comme un chef de projet en retard :
1. Vérifiez vos crédits sur moncompteformation.gouv.fr. Même si vous pensez avoir zéro euro, surprise possible.
2. Identifiez VOTRE code NAF sur votre attestation INSEE (sinon vous tapez à la mauvaise porte, et là… game over).
3. Contactez direct votre FAF ou votre Chambre de Métiers/CCI locale : posez TOUTES vos questions maintenant, pas après le refus du dossier.
4. Listez noir sur blanc LA compétence prioritaire qui va booster votre chiffre d'affaires dans 6 mois (pas besoin d’un business plan NASA non plus).
Gardez les yeux ouverts : pièges et arnaques classiques
On n’est pas chez Disney mais au pays du démarchage sauvage et du faux miracle pédagogique.
- Fuyez les organismes non certifiés (Qualiopi minimum sinon bye-bye financement public)
- Vérifiez toujours que votre financement est validé AVANT de commencer la moindre formation (!!)
- Comparez les contenus : si tout se ressemble et que le formateur sort du chapeau façon magicien… Prudence !
- Attention aux offres agressives ou trop belles pour être vraies – certains vendent du rêve mais livrent du PowerPoint moisi.
Bref : La formation professionnelle c’est un outil redoutable – mais mal utilisé c’est aussi une usine à regrets !