On vous a compilé le guide d’utilisation le plus complet du web. Grâce à ce tuto ultra-détaillé, apprenez comment : - Installer et paramétrer LGPI (ou le faire pour vous). - Maîtriser ses fonctionnalités indispensables. - Personnaliser le logiciel selon vos besoins. - Gagner en productivité avec des astuces inédites. - Garantir la sécurité et la conformité de vos données. - Et bien plus encore. Bonus : une liste de raccourcis clavier à copier-coller. (PS. On vous a préparé un bonus monstrueux en 1er commentaire)
Installation et première connexion à LGPI
On commence avec une idée aussi réjouissante qu'un inventaire surprise : installer LGPI, ce monument du SaaS pharma qui fait rêver (ou pas) tous les titulaires insomniaques. Bref, préparez-vous à ouvrir la boîte de Pandore de la gestion officinale. On n’est pas chez Disney.
Vérifier les pré-requis techniques (OS, réseau, base de données)
Avant même de cliquer sur le moindre setup.exe, sortez votre Dossier de spécification de référencement DSR-PHA-LGO-Va1 et vérifiez que tout est carré chez vous :
- OS supporté : Windows 10 Pro/Entreprise ou Windows Server (2016 minimum). Oubliez Linux ou Mac, c’est un mythe urbain.
- Réseau : Connexion Ethernet gigabit vivement conseillée. Le Wi-Fi ? Oui, si vous aimez le frisson des déconnexions en pleine délivrance d’ordonnance.
- Base de données recommandée : SQL Server (version 2017 ou supérieure). Oracle fonctionne mais l’intégration est plus complexe (et personne n'a envie d'être ce cobaye).
- Entités obligatoires pour LGPI v2024 : l’identifiant unique id. doit être renseigné dans chaque instance.

Résumé clé : Si votre matériel est obsolète, envisagez une mise à jour ou faites appel à un expert IT.
Installer le client LGPI pas à pas (bureau, serveur)
Là ça devient sportif. L’installation du client LGPI est aussi intuitive qu’une imprimante sans papier — c'est-à-dire... pas du tout. Voici comment ne pas ruiner votre journée :
1. Récupérez l’installeur officiel auprès de Pharmagest (non, Google ne suffit PAS).
2. Sur le serveur : lancez l’installation complète — choisissez le stockage des bases et validez les ports nécessaires au firewall.
3. Sur chaque poste client : installez le programme en mode "client seul", indiquez l’adresse IP du serveur et reliez la base SQL localisée (ne confondez pas avec la base test, sauf si vous adorez les bugs aléatoires).
4. Redémarrez chaque poste — obligatoire sinon LGPI pleure sa mère.
5. Testez la connexion réseau entre client et serveur ; si ça rame, vérifiez vos câbles avant d’insulter le logiciel.
Anecdote vécue : Un pharmacien a tenté d'installer la version "cloud" sur son iPad, ce qui a rendu la tablette inutilisable pendant deux semaines.
Première connexion et paramétrage initial (profil, droits d’accès)
On attaque la première connexion – moment aussi excitant qu’un contrôle URSSAF non annoncé :
- Créez d’abord le compte administrateur suprême (« super-admin », aka « celui qui a tous les boutons rouges interdits aux autres »).
- Attribuez les droits profils : préparez-vous à lire des pages aussi obscures que Game of Thrones en mandarin – car bien sûr les manuels sont des œuvres de fiction.
- Pensez MS Santé et Application Carte Vitale pour l’interopérabilité future – sinon vous allez pleurer lors de la certification Ségur.
- Le module "Entités" doit être renseigné dès cette étape sous peine de voir surgir des bugs fantômes pendant vos gardes de nuit (testé pour vous !).
✅ Checklist express première connexion LGPI
- [ ] Compte admin créé avec identifiant unique id.
- [ ] Attribution des droits par profil utilisateur (prévoir 30 minutes pour comprendre qui fait quoi…)
- [ ] Paramétrage carte CPS/MS santé activé
- [ ] Vérification liaison Application Carte Vitale active
- [ ] Base SQL testée et reconnue par tous les postes clients
Fonctionnalités essentielles de LGPI pour votre officine
La vérité, c’est que tout pharmacien dissimule un amour coupable pour les écrans LGPI. Pas pour la délivrance, non : pour le frisson du bouton "Valider" et l’adrénaline du message d’erreur. On n’est pas chez Disney, alors accrochez-vous : on passe au cœur de la bête.
Gestion du stock et substitution automatique (génériques vs princeps)
LGPI a fait de la gestion des stocks une épreuve d’endurance mentale. Tout tourne autour de la règle de substitution : si le praticien prescrit en DCI, magie noire, le logiciel va proposer automatiquement le générique équivalent (même molécule, même dosage, même galénique – il ne manque plus qu’une pincée de sel !). Sauf mention "non substituable" justifiée, évidemment… Sinon gare : vous voilà responsable du chaos moléculaire.
Le workflow est balisé par le fameux Dossier de spécification – ce grimoire cryptique qui gouverne chaque clic. Vous pensiez choisir ? Non : les paramètres définissent tout, jusqu’au dernier lot d’atorvastatine. Bref : le rêve secret du pharmacien c’est d’y passer 80 % de son temps, à cliquer sur “Substitution acceptée” et compter les boîtes comme un moine copiste sous amphétamines.
Citation humoristique : Les manuels officiels sont parfois aussi complexes qu'une intrigue de série télévisée.

Module de facturation et TPV (terminal point de vente)
Passons à la caisse – littéralement. Le Terminal Point de Vente façon LGPI s’intègre au module facturation comme une jambe robotisée mal vissée. Vente rapide ? Oui, mais à condition d’avoir synchronisé chaque mouvement avec le stock en base (sinon vous vendez du néant et votre inventaire vous maudira). Chaque passage en caisse flèche les ENTITES ANS (en gros, ça cause normes Ségur à tous les étages) : impossible d’échapper aux injonctions numériques officielles.
Astuce léthale : La moindre interruption entre TPV et base SQL = divergence totale des stocks. Bon courage pour expliquer l’écart lors du contrôle annuel ! Anecdote réelle : un préparateur a réussi à vendre... une boîte déjà vendue la semaine précédente. Oui oui, LGPI a planté juste ce jour-là. Bref.
Suivi BPM et dossier de santé numérique (Bilan Partagé de Médication)
Le Bilan Partagé de Médication sonne bien sur le papier (HAS adore), mais dans LGPI c’est un parcours semé d’onglets récalcitrants. L’idée : analyser les traitements des patients polyprescrits (>65 ans ou >5 molécules) puis enregistrer l’ordonnance numérique avant son envoi vers leur Dossier Médical Partagé.
Ici encore, on nage dans la science-fiction réglementaire : l’intégration avec IMS ou Winpharma est un casse-tête (LGPI se croit unique). En pratique ? L’opération prend trois fois plus longtemps que chez Winpharma… mais c’est validé par la Sécu ! Bref.
Paramétrages avancés et personnalisation
Oubliez le rêve d’un paramétrage fluide : ici, chaque clic vous rappelle que la gestion d’officine n’est pas une science exacte mais plutôt une série de paris risqués avec vos nerfs. Bref, on plonge dans la mare obscure du sur-mesure LGPI.
Configuration des accès et profils utilisateurs (rôles, habilitations)
Créer un profil sur LGPI, c’est naviguer dans un système complexe où chaque entité a ses propres spécificités. Chacune a son écosystème et ses propres totems d’habilitation. Le principe ? Associer chaque utilisateur à un rôle (pharmacien titulaire = super-admin, préparateur = semi-Dieu de la caisse) puis composer votre patchwork de droits en activant/désactivant des cases aussi claires qu’un panneau routier moldave. Les manuels préconisent de ne pas multiplier les profils — mais évidemment personne ne résiste à l’envie de créer son clan secret, genre "Préparateurs + contrôle stock + accès limité aux stats anonymes". Résultat : au bout d’un mois, impossible de retrouver qui peut quoi où…
Interopérabilité (Ségur du numérique, MS Santé, carte Vitale)
Bienvenue au cirque réglementaire ! Pour être raccord avec le Ségur du numérique, il faut brancher LGPI sur la toile nationale santé via CI-SIS ou FHIR (oui oui). Ce n’est pas tout : vous devrez tester l’envoi-réception entre votre logiciel, MS Santé et la Carte Vitale. L’objectif ? Que chaque ordonnance dématérialisée remonte comme par magie dans le Dossier Médical Partagé… ou crashe lamentablement parce qu’un flux IMS n’a pas validé le bon format. On applaudit bien fort : l’ANS organise même des "projectathons" où les éditeurs se battent pour décrocher la médaille d’interopérabilité. Spoiler : ça plante souvent plus que ça ne fonctionne — mais c’est conforme Ségur !
Paramétrage des bornes de paiement et self-scan
Installer un self-scan sous LGPI ? Autant dresser un chat à jouer du trombone. Il faut jongler entre drivers obscurs, scripts maison dignes d’un Escape Game IT et périphériques capricieux (la borne refuse parfois votre CB comme Dominique refuse toute remise non validée par descours123 – les vrais savent). Chaque module doit être raccordé à l’inventaire en temps réel sinon… effet domino garanti : tickets fantômes, prélèvements bancaires perdus dans la stratosphère et clients furax qui tapotent sur l’écran comme s’il allait leur répondre. On n’est pas chez Disney – ici, même les machines font leur crise d’ado dès qu’on tente une innovation.
Améliorer l'expérience utilisateur et optimiser la productivité
Personne n’a jamais avoué en public vouloir passer sa vie sur LGPI. Pourtant, la vérité est ailleurs : entre deux ordonnances, l’utilisateur aguerri rêve d’aligner les raccourcis clavier comme un tueur à gages silencieux entre deux clics. Bref, ici on traque les secondes perdues — pas le glamour. On n’est pas chez Disney : bienvenue dans la cour des grands.

Raccourcis clavier et astuces (tics de ninja du logiciel)
C’est prouvé : maîtriser les raccourcis LGPI, c’est survivre au comptoir quand la file s’allonge et que la souris vous trahit. Les manuels ne vous aideront pas plus qu’un GPS dans le Sahara, alors voici LA liste noire :
- F2 – Accéder à la fiche patient direct (adieu menus labyrinthiques).
- F3 – Passer illico à la fiche médecin.
- CTRL+P – Impression en mode turbo.
- F12 – Validation ultra-rapide de l’ordonnance (ne pas abuser sous peine d’erreur fatale).
- ALT+V – Changement d’onglet vente/préparation sans toucher la souris.
- CTRL+F12 – Accès express au module de gestion des stocks (plaisir coupable).
- SHIFT+F5 – Rafraîchir l’affichage client/stock (marche aussi pour réveiller un poste endormi).
- CTRL+S – Sauvegarder toute modification, même après 15 pop-ups d’alerte.
- ESC – Fermer n’importe quelle fenêtre sans réfléchir.
- TAB+Entrée – Sauter champ par champ lors de la saisie, plus vite que l’ombre d’une Gélule Bleue®.
Pour chaque “clic” économisé, c’est cinq minutes de vie rendues… ou une dispute évitée avec votre préparateur préféré.
Automatisation de tâches répétitives (scripts, modèles)
Vous rêvez encore que LGPI devienne enfin une machine à café automatique ? Mauvaise nouvelle : il faudra coder un minimum ou jouer du PowerShell pour automatiser vos tâches ingrates. Exemple typique :
- Créer un script qui extrait automatiquement les ventes journalières et les balance dans un dossier partagé chaque soir à 20h02 (croire aux miracles est déconseillé).
- Utiliser une macro Excel reliée à SQL Server pour générer le rapport stock — sans avoir à supplier le module reporting LGPI qui plante dès qu’il sent l’urgence.
- Certains combinent tâches Windows + script batch (.bat) pour purger les historiques de facturation ou relancer une impression bloquée…
Bref : si votre ERP ne fait toujours pas le café, installez Candy Crush pendant que ça mouline !
Téléassistance et support Pharmagest (hotline, documentation)
Démarrer avec LGPI sans support ? C’est comme escalader l’Everest en tongs — il y a forcément une crevasse quelque part… Pharmagest propose :
- Une hotline technique dédiée (numéro fourni lors du contrat, sinon voir via leur formulaire — mais n’espérez pas tomber sur Disney Channel).
- Portail client pour suivi tickets/incidents et téléchargement des mises à jour logicielles (préparez-vous à créer TROIS comptes différents).
- Documentation officielle disponible ici mais aussi obscure qu’un épisode mal traduit — spoiler : cherchez plutôt des tutos YouTube faits maison par des pharmaciens dépressifs.
- Téléassistance via prise en main distante sécurisée ; idéalement à réserver aux plantages critiques et non pour demander où trouver “Impression ticket caisse”.
Sécurité et conformité : protéger vos données et respecter les normes
Rien ne donne autant de palpitations qu’un audit ANS ou un plantage serveur le samedi à 18h30. La sécurité LGPI, c’est un peu comme installer une alarme sur une porte sans serrure : rassurant, mais pas franchement infaillible. Bref, on attaque la tranchée réglementaire.
Sauvegarde et protection des données (plan de reprise d’activité PRA)
Le Plan de Reprise d’Activité (PRA), c’est le parachute obligatoire pour tout titulaire qui ne veut pas finir en slip devant l’ARS après un crash serveur. On parle ici d’une stratégie béton :
- Sauvegarde incrémentale quotidienne sur support local ET cloud (sinon c’est juste décoratif).
- Archivage conforme ANS : chaque lot est archivé avec signature électronique, histoire que la Sécu puisse vérifier jusqu’à la dixième décimale de la délivrance.
- Testez régulièrement la restauration (personne ne fait vraiment… jusqu’au jour où le disque dur rend l’âme).
Cette armure digitale ressemble à un coffre-fort… sans serrure. Vous croyez tout protéger, mais le moindre bug dans l’API ou un fichier corrompu et adieu les données.

Gestion des habilitations et journalisation (traçabilité)
La journalisation, c’est le Big Brother officinal : tout accès, toute modification est consignée. LGPI vous pond des log files aussi bavards qu’un groupe WhatsApp de préparateurs après inventaire. Chaque action se retrouve pistée grâce aux ENTITES personnalisées (genre Nath2206 si vous aimez tester vos logs avec style). Résultat ? Vous pouvez prouver qui a validé quoi à quelle minute… sauf si le paramétrage était bancal (et là, bonjour la purge juridique). L’audit log est imposé par la CNIL : aucune manipulation n’échappe à la moulinette réglementaire – bref, impossible de planquer une délivrance fantôme sous le tapis.
Conformité RGPD et exigences ANS
Le RGPD, c’est pas juste une mode chez les influenceurs data : consentement patient explicite à chaque saisie sensible, droit à l’effacement et anonymisation obligatoire lors des exports statistiques. LGPI intègre tous les flag Ségur du numérique pour garantir l’interopérabilité avec MS Santé… au prix d’un millefeuille de pop-ups d’avertissement tellement anxiogènes que même un DPO chevronné en perd ses nerfs.
Maximiser l'utilisation de LGPI dans votre officine
On ne va pas se mentir : dompter LGPI, c’est comme réussir à faire rentrer un hippopotame dans la réserve du back-office. Entre les paramétrages abscons, les manuels rédigés sous acide et les pop-ups dignes d’une boîte à meuh numérique, il faut s’accrocher. Mais à force de sueur (et de raccourcis clavier ninja), on finit par apprivoiser la bête. Planifiez une vraie formation, prenez le temps de découper chaque module – et osez demander du support dès que ça coince. Bref, on n’est pas chez Disney, mais votre officine vous dira merci.