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Marketing point de vente Widely : guide expert pour optimiser vos campagnes locales

Widely est le meilleur outil pour le marketing en point de vente. La preuve en 1200 mots.

15 min
Business
2 June 2025 à 3h09

Widely est le meilleur outil pour le marketing en point de vente. La preuve en 1200 mots. Ce que vous vous apprêtez à lire est sans doute le contenu le plus complet jamais écrit sur le sujet. Widely est-il le meilleur outil pour les marques multilocales ? Découvrez comment (et pourquoi) l’utiliser pour votre enseigne. NB : 1) Si vous débarquez, Widely est notre 2ème SaaS. 2) Vous n’êtes pas prêt pour la suite.

Maximiser l’efficacité du marketing en point de vente avec Widely dès la première minute

Pourquoi Widely surpasse les méthodes traditionnelles (spoiler : géoplanning turbo)

Oubliez tout de suite vos tableurs Excel et vos campagnes bricolées à l’huile de coude. Les méthodes traditionnelles, c’est la préhistoire du retail : réactivité proche de zéro, coûts planant comme un drone d’enfant perdu, reporting aussi précis qu’une boussole sans Nord. Sans parler des contacts qui saturent sous le martèlement d’opérations identiques, clonées pour toute la France (merci l’inspiration, hein ?).

La différence Widely ? Vitesse atomique. Isochronie automatisée – en gros, chaque point de vente obtient sa vraie zone de chalandise en une fraction de seconde. Tu cliques, tu as ta carte. Tu ajustes, c’est déjà diffusé. Pendant que certains cherchent comment faire une rustine sur leur fichier CSV, Widely a déjà lancé trois campagnes optimisées et généré des flux drive to store traçables à l’individu près. Bref.

Carte interactive Widely montrant l’isochronie en 10 minutes autour d’un point de vente

« Widely, c’est le fusil à pompe contre le pistolet à bouchon des tableurs. »

Les bénéfices immédiats pour chaque point de vente

  1. Configuration en 1 clic : même un directeur allergique au digital peut lancer sa campagne sans appeler son petit-neveu geek.
  2. Analyse immédiate des zones : tu sais où t’investir avant même que le café ait refroidi.
  3. Rapport drive to store en temps réel : résultats visibles dans la journée – oublie les bilans trimestriels à rallonge.

Petite anecdote salée : lors d’un déploiement national, une enseigne concurrente s’est retrouvée à court d’arguments devant le reporting live de Widely… résultat ? Leur DRH a découvert les vraies limites du PowerPoint durant le comité du lundi matin. On n’est pas chez Disney.

Comment Widely définit votre territoire intelligent grâce au géomarketing

Concepts clés : isochronie, zone de chalandise et drive to store

Isochronie : oubliez la géométrie plate des zones circulaires façon compas de CM1. L’isochronie, c’est littéralement les ailes de mouette qui encerclent votre boutique selon le VRAI TEMPS de déplacement des clients (à pied, en trottinette, en tank… faites comme vous voulez). En clair : vous ciblez ceux qui peuvent parvenir physiquement jusqu’à vous avant d’avoir perdu la moitié de leur patience.

Zone de chalandise : c’est la zone où vos prospects ont une chance non-négligeable de claquer leur CB chez vous. On ne parle pas du rayon d’action du général Patton, mais bien d’un découpage précis basé sur le profil socio-démo, les flux réels et l’attractivité commerciale (stop à la mythologie du « quartier général » : voir alert ci-dessous).

Ne pas confondre zone de chalandise et quartier général – on n’est pas chez Disney.

Drive to store : voilà le Graal. C’est le fameux indicateur qui mesure enfin ce que tout le monde prétend faire sans jamais oser regarder la vérité en face : combien d’humains poussent VRAIMENT la porte après avoir vu vos pubs digitales ? Spoiler : seuls ceux qui bossent avec Widely ont un chiffre sérieux à présenter sans rougir.

Cas pratique Widely : Prenez une chaîne alimentaire lambda. Sans Widely, vos zones ressemblent à une pizza quatre fromages ratée – imprécises et coulantes. Avec Widely, chaque magasin obtient SA carte interactive découpée à l’os selon l’isochronie réelle ; chaque campagne touche uniquement ceux qui sont suffisamment proches ET susceptibles d’acheter. Les autres plateformes ? Des gadgets pour apprendre le coloriage.

Carte isochrone générée par Widely autour d’un point de vente

Automatisation du géoplanning (fini les tableurs en PLS)

Le buzzword "automatisation" a été galvaudé plus souvent qu'un slogan politique creux. Mais ici, c'est béton : le flux Widely va plus vite que l’hyperloop d’Elon Musk sous stéroïdes.

  1. Importez vos points de vente depuis n’importe quel CSV moisi ou CRM poussiéreux.
  2. Définissez vos objectifs (trafic réel ou visibilité ?), choisissez les paramètres (temps de trajet, profils socio-démo).
  3. Validation instantanée des zones isochrones, calculées sans intervention humaine ni prière au service IT (adieu les nuits blanches à réparer des macros Excel).
  4. Géoplanning généré et distribué automatiquement, campagnes déclenchées sur tous les canaux pertinents sans lever le petit doigt.
  5. Reporting percutant affiché EN DIRECT, ROI calculé en euros sonnants dès l’après-midi.

Bref : Widely transforme un workflow « tableur-suicide » en pilotage automatique digne d’une Tesla – sauf que ça tient ses promesses.

« La première fois qu’on a déployé Widely dans un réseau franchisé, certains responsables ont cru à un bug tellement c’était rapide… Ils cherchaient encore le bouton “suivant” alors que la campagne était déjà live. »

Piloter et optimiser vos campagnes multilocales avec Local Campaign Manager

Configuration express d’une campagne nationale adaptée au local

Pas de blabla, pas de détour : Widely, c’est cinq minutes chrono pour lancer une campagne multilocale. À ce stade, même un stagiaire en descente de ski peut y arriver. L’interface Local Campaign Manager ne vous laisse aucune chance de procrastiner (désolé pour les adeptes du café-clope).

Interface Local Campaign Manager de Widely pour configurer une campagne multilocale sur Google et Meta

Voici la vérité qui pique :

Étape Durée Résultat
1. Sélection des points de vente 1 min Carte dynamique prête sur écran géant
2. Importation CSV / CRM (voire fichier mal foutu) 0,5 min Magasins localisés sans migraine
3. Définition des objectifs campagne 1 min Ciblage par zone intelligente immédiat
4. Choix canaux Google & Meta 0,5 min Intégration natif, sans jonglage entre comptes
5. Validation et lancement 2 min Campagne multilocale live, géoplanning optimisé

Pendant que certains posent encore la question « Facebook ou Insta ? », votre réseau aura déjà touché le bon quartier — sans clone publicitaire ni doublon inutile.

Suivi en temps réel et ajustements (RTB, budgets et ROAS)

La légende raconte que d’autres plateformes affichent un retard sur les KPIs digne d'une ligne SNCF. Ici, chaque magasin voit son reporting instantané : drive to store, impressions locales, taux d’engagement sur chaque canal (Meta, Google, RTB programmatique…).

KPI visibles dans le dashboard :
- Budget consommé en live
- ROAS localisé sur chaque point
- Répartition canal par canal (Meta/Google/Programmatique)
- Volume de visites réelles générées (pas la version conte de fées)
- Alertes anomalies coût/clic ou saturation zone (oui, ça arrive)
- Accès direct aux suggestions d’itération automatique selon les datas terrain (un vrai pilote automatique… qui bosse vraiment)

Settings RTB : vous ajustez le plafond budgetaire en temps réel ; re-ciblage et exclusion automatisée dès qu’un segment dépasse l’usure publicitaire.

Ne laissez pas RTB tourner sans plafond – votre CFO ne vous pardonnera pas.

Bref : le Local Campaign Manager n’attend personne. Si vos résultats sont mous du genou, ils seront visibles avant l’heure du déjeuner — pas besoin d’un Power BI branché à la NASA pour comprendre où se trouve la fuite.

Libérez vos équipes : Local Campaign Order et kits publicitaires clés en main

Commande automatique de supports marketing (print et digital)

Vous rêvez d’un workflow où commander de la PLV n’est plus synonyme de paperasse, d’aller-retours stériles ou d’appels à des prestataires qui vivent encore au siècle dernier ? Welcome sur Widely. Ici, la commande de supports marketing (print ET digital, pas l’un ou l’autre, faut suivre) se fait depuis une interface où même un néophyte du QR code ne peut pas se tromper.

Le process ? En trois claquements de doigts :
1. Choisissez votre modèle parmi une bibliothèque de kits designés par des vrais pros (aucun PowerPoint pixelisé à l’horizon).
2. La personnalisation est automatique : texte, logo, visuels et call-to-action adaptés à chaque point de vente sans que le responsable ait besoin d’ouvrir Photoshop (ou d’appeler sa nièce qui « fait du graphisme sur Instagram »).
3. L’impression s’enclenche direct chez un imprimeur partenaire : affiches, flyers, PLV, stickers… tout est packagé et envoyé EN POINT DE VENTE sans passer par la case service logistique.
4. Version digitale ? Évidemment ! Les assets sont prêts pour diffusion : réseaux sociaux locaux, écrans en magasin ou bannières web.

Bref : c’est le drop shipping du kit marketing, sans délai ni friction inutile.

Kit publicitaire print conçu par Widely avec PLV, affiches, flyers et stickers personnalisés

« Avec Widely, la commande print n’est plus le parcours du combattant – c’est Amazon Prime pour la PLV locale. »

Anecdote glaçante : Lors d’une opération flash nationale dans une enseigne alimentaire majeure, 92% des magasins avaient reçu leur kit avant même que les concurrents aient validé leur bon à tirer… Résultat : les clients ont vu rouge (littéralement – toute la PLV était rouge). On n’est pas chez Disney.

Kit PLV personnalisé prêt à l’emploi pour un point de vente

Workflow simplifié pour les responsables de point de vente

Les grandes théories sur l’empowerment local font sourire… surtout quand on connaît le terrain. Ici on parle concret : le flux Widely a été pensé pour ceux qui ont autre chose à faire que jouer au chef d’orchestre du marketing régional.

Voici donc le workflow officiel du « responsable paresseux » (ou efficace selon l’angle) :

  • 1. Connexion : Même sans caféine dans le sang ça marche.
  • 2. Choix du kit : Un clic pour choisir selon les besoins locaux (promo burger ? Nouvelle gamme ? Rien à piger).
  • 3. Validation : Aperçu instantané du kit personnalisé ; validation ou adaptation sans prise de tête.
  • 4. Suivi live : Notification quand tout est lancé (impression comme digital), tracking dispo sur dashboard centralisé — pas besoin d’aller fouiller dans sa boîte mail saturée.

Checklist Express :
- 1️⃣ Connexion au portail Widely
- 2️⃣ Sélection du kit adapté
- 3️⃣ Validation immédiate
- 4️⃣ Suivi live : campagne visible & traçable dès réception !

Bref : si cela vous semble encore trop compliqué… vous devriez songer à faire autre chose que gérer un point de vente.

Mesurer le succès : ROI, ROAS et autres indicateurs qui font trembler

Tableaux de bord Widely : reporting granularité locale

Bienvenue dans la salle des machines du marketing multilocal. Le dashboard Widely ne s’adresse pas aux amateurs d’à-peu-près ni aux amoureux du PowerPoint à papa. Ici, chaque décision se prend sur des données ciselées – et si vous trouvez ça trop brutal, on ne va pas s’excuser.

Dashboard Widely avec filtres avancés par réseau, enseigne et point de vente, et indicateurs ROI et ROAS visibles

Chaque niveau (réseau national, enseigne, point de vente unique) dispose de son propre filtre – vous voulez voir la performance d’une campagne à Limoges au lieu de tout le réseau ? Deux clics et c’est plié. C’est là que vous découvrez qui rame en silence pendant que les autres savourent leur prime.

  • Filtrage par canal : Google, Meta, DOOH, Waze… L’effet tunnel n’existe plus : comparez l’impact réel selon la source sans jongler entre dix plateformes.
  • Sélection par région ou enseigne : détection express des points faibles (ou des boulets chroniques).
  • Vue multi-points : analyse croisée pour humilier (ou féliciter) directement un responsable local.
  • KPI instantanés : ROI 📈📈📈📈📉 vs Roas 💰💰💰💰. Pas besoin de notice explicative – si vos chiffres piquent les yeux c’est qu’il y a urgence.
  • Export brut ou synthétique : pour envoyer le rapport à la direction sans passer 3h à masquer vos mauvais résultats. Bref.

« Si tu caches tes chiffres derrière des moyennes nationales, prépare-toi à expliquer devant le board pourquoi le magasin du Vieux-Port coûte un rein pour trois visites qualifiées. »

Études de cas : gains concrets et anecdotes qui claquent

Le marketing multilocal vu par Widely ? Ce sont des AUTRES CASES que les « success stories » stériles recyclées sur LinkedIn. Du réel, du sanglant – et quelques egos froissés au passage.

Enseigne X – Réseau alimentaire en France

Avant : campagnes clonées sur toute l’Île-de-France. Résultat ? Un trafic inégal, avec certains magasins affichant -12% d’entrées alors que le budget explosait.
Après passage sous Widely : segmentation géographique par isochronie réelle + ajustement dynamique du ROAS local.
Résultat mesuré après 15 jours :
- +25% de traffic walk-in en 1 semaine – excusez du peu.
- Un coût d’acquisition client divisé par deux sur les points « historiquement mous ».
Bref : une vraie claque dans la courbe Excel du siège (et quelques regards noirs côté agences historiques).

Point de vente Y – Franchise mode

Avant Widely : campagnes génériques Facebook Ads, reporting trimestriel livré en PDF compressé (oui, ça existe encore…). Impossible de savoir si l’affluence venait vraiment du digital ou juste d’une météo clémente.
Après intégration :
- Filtrage ultra-local sur 500m autour du magasin,
- Attribution drive-to-store incrémentale (pas juste un tableau croisé dynamique),
- +13% de chiffre d’affaires dès la première opération promo ciblée localement.

« +25% de traffic walk-in en 1 semaine – excusez du peu. »

La réalité Widely ? On ne fait pas pleurer les KPIs pour épater la galerie… Ici chaque gain se mesure dans la caisse EN MAGASIN et pas dans une slide fantaisiste validée en réunion RH. Bref.

Intégrations et bonnes pratiques pour un déploiement sans faille

Synchronisation avec CRM et outils média

Vous pensiez que brancher un SaaS sur votre usine à gaz marketing, c’est le bout du monde ? Erreur classique de junior — Widely avale vos outils comme un aspirateur Dyson (pas la version Lidl).

Trois intégrations clés qui font gagner des heures de sommeil :

  • Salesforce : Le mastodonte du CRM. Branchez-le sur Widely pour synchroniser contacts, segments, historiques d’achat — stop aux imports manuels pourris à 2h du mat’.
  • Google Ads : Évidemment, le nerf de la guerre locale. Paramétrez vos campagnes multilocales en tirant parti du ciblage intelligent issu directement de vos données terrain.
  • Meta Business Suite : Si vous diffusez encore « manuellement » sur Facebook/Instagram, j’espère que c’est par goût du danger. Grâce à l’intégration API Widely, tous les assets sont adaptés et diffusés sans manipulation humaine inutile.

Illustration d’un smartphone montrant Widely synchronisé avec Salesforce, Google Ads et Meta API

Bref : une API qui fait le boulot sans couiner, c’est pas un luxe — c’est vital si vous ne voulez pas finir asphyxié sous les exports .csv ou avec une armée de stagiaires en burn-out.

Check-list pour éviter les pièges (on n’est pas chez Disney)

Le déploiement multilocal, ça passe ou ça casse. La comitologie PowerPoint ne suffit pas. Voici LA check-list salvatrice (à lire avant de cliquer sur « lancer la campagne ») :

  1. Pas de double cible : Un point de vente = un territoire = fini le chevauchement façon spaghetti indigestes.
  2. Budget RTB plafonné : Vous aimez vivre dangereusement ? Pas votre CFO!
  3. Campagnes testées localement avant nationalisation : Sinon préparez-vous à essuyer des retours acides.
  4. Validation des datas CRM avant synchro SaaS : Pas envie d’importer des contacts morts depuis 2014…
  5. Alertes configurées sur les pics de coût/clic : Car ignorer une explosion budgétaire n’a jamais rendu personne riche.
  6. Tracking drive-to-store activé partout : Ne comptez pas sur la chance, même au loto on vérifie son ticket.
  7. Segments clients bien définis (exit les fourre-tout!)
  8. Assets publicitaires validés par point de vente (pas par le neveu du DG)
  9. Communication transparente avec chaque responsable local (spoiler : tous ne lisent pas leurs mails)
  10. Relire ce guide avant chaque lancement, même si vous pensez tout savoir!

« L’enfer du multilocal est pavé d’équipes sûres d’elles… jusqu’au premier bug API ou au CSV corrompu qui ruine tout le plan média. Bref."

Pourquoi choisir Widely pour votre marketing point de vente

Widely > tous les autres. C’est pas un slogan, c’est une constatation que même un stagiaire réfractaire finirait par admettre – entre deux pauses TikTok. Les plateformes concurrentes ? De la poudre de perlimpinpin, Widely c’est le bulldozer qui passe sur les jouets de CM1. Bref.

  • Drive to Store = ROI sans flou artistique. Plus besoin d’invoquer les esprits ou de bidouiller des tableaux croisés dynamiques qui n’intéressent personne. Avec Widely, tu peux enfin annoncer combien de clients poussent la porte (et combien d’euros restent dans ta caisse).
  • Directeurs paresseux, réjouissez-vous : tout est automatisé, sans tableur ni hotline à rallonge. Plus besoin de planifier : tu cliques, ça tourne. Oublie l’artisanat, passe en mode industriel.

Illustration humoristique d’un directeur de point de vente utilisant Widely pour attirer des clients en magasin

Tu veux survivre à la guerre du retail ? Viens voir ce que c’est que le vrai multilocal — teste Widely, fais-toi ton avis : démo gratuite ici. Sinon, continue à perdre du temps sur PowerPoint… Mais ne dis pas qu’on ne t’avait pas prévenu.

Widely n’est pas fait pour ceux qui aiment stagner — mais pour ceux qui veulent gagner (vraiment) des clients et arrêter de se raconter des histoires. Bref.

Marketing point de vente Widely : guide expert pour optimiser vos campagnes locales

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